1095 Lutry
Extension d’une villa
Collaborateur : S. Rottura
Collaborateur : S. Rottura
Construit au bord de l’eau, le petit pavillon de bain existant est l’œuvre de l’architecte Cornaz et date des années 1930.
D’inspiration classique, il reprend une typologie architecturale typique de la région et souvent employée entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. C’est en effet à cette époque, qui coïncide directement avec la campagne d’assainissement des évacuations des eaux usées, que la population locale découvrit le plaisir de la baignade dans le lac.
La construction de petits pavillons au bord de l’eau, souvent sous la forme de gloriettes inscrites dans l’aménagement du parc d’une demeure principale, devient une constante de la riche bourgeoisie. Jamais habités à l’année, ces pavillons de plaisance permettaient de se retrouver avant de plonger dans le lac. Le remblai progressif des berges du lac a rendu l’utilisation de ces objets partiellement caduque, sans pour autant leur enlever leur charme.
Conscient de la rareté de l’objet architectural en sa possession, le client a décidé de mettre au concours différents concepts afin de transformer le pavillon et de le rendre habitable. La proposition de créer une dichotomie entre l’espace de jour de la partie existante et le nouvel espace de nuit s’est avérée séduisante. La construction d’un nouveau volume s’insère en retrait du pavillon, sur la partie arrière de la parcelle.
La liaison entre les deux parties, ancienne et moderne, se fait par un cube en verre, qui défi nit l’entrée principale.
Afin de renforcer l’aspect représentatif de la cour d’accès, une allée arborée et un escalier extérieur créent en amont de l’entrée une riche séquence spatiale, dont les espaces s’inspirent des règles géométriques du bâtiment existant.
D’inspiration classique, il reprend une typologie architecturale typique de la région et souvent employée entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. C’est en effet à cette époque, qui coïncide directement avec la campagne d’assainissement des évacuations des eaux usées, que la population locale découvrit le plaisir de la baignade dans le lac.
La construction de petits pavillons au bord de l’eau, souvent sous la forme de gloriettes inscrites dans l’aménagement du parc d’une demeure principale, devient une constante de la riche bourgeoisie. Jamais habités à l’année, ces pavillons de plaisance permettaient de se retrouver avant de plonger dans le lac. Le remblai progressif des berges du lac a rendu l’utilisation de ces objets partiellement caduque, sans pour autant leur enlever leur charme.
Conscient de la rareté de l’objet architectural en sa possession, le client a décidé de mettre au concours différents concepts afin de transformer le pavillon et de le rendre habitable. La proposition de créer une dichotomie entre l’espace de jour de la partie existante et le nouvel espace de nuit s’est avérée séduisante. La construction d’un nouveau volume s’insère en retrait du pavillon, sur la partie arrière de la parcelle.
La liaison entre les deux parties, ancienne et moderne, se fait par un cube en verre, qui défi nit l’entrée principale.
Afin de renforcer l’aspect représentatif de la cour d’accès, une allée arborée et un escalier extérieur créent en amont de l’entrée une riche séquence spatiale, dont les espaces s’inspirent des règles géométriques du bâtiment existant.
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